L’amour se meurt dans nos corps devenus devenu trop sage
Les cœurs se dessèchent faute de tendresse
Comme se meurt la vague sur un rivage
Nos espoirs déçus ne souhaitent que l’ivresse
Les poissons, dont le reflet comme l’éclair
Ne se voit plus dans l’eau devenue trop noire
Depuis longtemps même son écume n’est pas claire
Penchée sur le bord je ne vois que désespoir.
Cet essai est pour le défi de Sirène