Frédégonde (reine, qu’espères-tu de Dieu et des hommes? Tu viens ici souillée du sang de tes petits-enfants; c’est toi qui as conduit le poignard qui a percé le roi Sigebert, notre oncle et ton époux; c’est toi qui m’as privé de mon père, le roi Chilpéric de glorieuse mémoire; c’est toi qui as tué Mérovée, que tu avais reçu dans ton lit. Tu n’as pas épargné tes propres fils, qui sont morts à cause de toi. Que peux-tu dire pour ta justification? »)
Frédégonde de répondre :
c’est vrai j’suis ronde
et bien blonde
sache mon fils que mois je veux le monde
j’suis burgonde
tu m’vois immonde
et tu déplore que j’sois féconde
ne crois pas que j’me morfonde
j’suis de loin pas encore moribonde
Arrête donc d’êtes pudibond
ça m’rend, vraiment très furibonde
et ça s’voit parce que j’suis rubiconde!
J’avais cet air dans la tête qui m’as fourni l’idée…..
Bonsoir Renée. Ta Frédégonde est originale. Bravo et bisous
Merci c’est gentil Brigitte. Bisousss
Ah ! Oui, en onde toi de même ! Bravo ! J’♥ ! Bisous♥
Mais oui les grand esprits se rencontrent Colette. Bisous bisous
Tu nous a proposé un beau texte avec de belles rimes
Merci beaucoup Sabine. Bisous bisous
Un prénom qui sent l’Histoire!!! Belle façon de la rendre vivante!!!
Bises
Une femme de pouvoir cette Frédégonde.
Bravo Renée.
Bisous, bon jeudi. Surtout prends bien soin de toi.
Jouissive ta Fredegonde!
Merci Mansfield. Bisous
Comme quoi l’orgueil et la soif de pouvoir, ne concerne pas que les hommes !
pas tres sympa cette belle reine, les cadavres ne semblent pas l’embarasser sur sa route, porte toi bien chere Renée, bises